Projet Zéro Déchet

Non, je ne vais pas abandonner le papier toilette. Certaines personnes sont prêtes à aller jusque là, mais pas moi. Par contre, il y a un moyen de réduire quelque peu l’impact du papier de toilette qu’on utilise en privilégiant le papier de toilette recyclé. Je tiens à préciser que je ne suis aucunement commandité pour aucun des produits dont je peux faire mention dans ce blogue. Dans mon cas, j’achète dorénavant le papier toilette 100% fibres recyclées de Cascades . En fait, honnêtement, je ne connais pas d’autres entreprises au Québec qui offrent des produits similaires. Bonus : c’est une entreprise de ma région, alors je continue à l’économie locale ! Certes, le papier recyclé est plus dispendieux et moins doux que certaines autres marques... Mais au moins j’ai la conscience tranquille en me disant qu’aucun arbre n’a été spécifiquement abattu pour le confort de mes foufounes. Du côté économique, il y a toujours l’option de surveiller les circula

Je continue cette semaine dans la catégorie « soins de la peau ». Après avoir trouvé une solution de rechange aux produits démaquillants la semaine dernière, j’en découvre une nouvelle pour les produits exfoliants. Les produits exfoliants contiennent couramment des microbilles de plastique. Ces microbilles sont très nocives pour l’environnement. Elles réussissent à se faufiler au travers des systèmes d’épuration d’eau, puis se retrouvent dans les cours d’eau, lacs et océans où elles sont ingérées par les animaux aquatiques. [1] Le gouvernement canadien a d’ailleurs reconnu les microbilles de plastique comme une substance toxique et pense même à les interdire. [2] Une p'tite cuillère pour mélanger les ingrédients  et le tour est joué! La solution que j’ai adoptée est tellement simple que je m’en mords les doigts de ne pas l’avoir adopté plus tôt : du sucre et un peu d’huile d’olive. La recette suggérée à la base était   une ½ tasse de sucre mélangée à une ½ tasse d’huile

Il y avait une époque où je me maquillais tous les jours ( AKA mon adolescence). Maintenant, c’est assez rare que je me maquille. J’ai abandonné le maquillage quotidien pour toutes sortes de raisons, mais principalement parce que je trouvais que ça prenait trop de temps dans ma vie et trop d’argent aussi. Par contre, je me maquille encore pour quelques occasions plus « chics ». Dans les dernières semaines, j’ai eu à me maquiller. C’est là que j’ai constaté que les petites lingettes jetables démaquillantes que j’avais achetées il y a un moment étaient complètement desséchées. J’ai donc profité de cette occasion pour me tourner vers une solution de rechange aux produits démaquillants traditionnels. Voici le résultat de mes expériences de couture! J’ai découpé en petits carrés un vieux t-shirt trop « magané » pour donner. Avec la machine à surjeter que j’ai empruntée à ma mère, j’ai cousu des rebords. De cette façon, je vais pouvoir mettre les lingettes au lavage. Bon, j’en c

Je me souviens encore de l’hygiéniste dentaire comique qui venait nous expliquer comment nous brosser les dents quand j’étais au primaire. La brosse à dents fait partie de ma vie depuis tellement longtemps que je n’ai jamais pris le temps d’y réfléchir. Puis, j’ai visionné la vidéo promotionnelle de l’entreprise américaine Brush with Bamboo . Ce qui m’a frappé, c’est l’affirmation selon laquelle toutes les brosses à dents de plastique que nous avons utilisées dans notre vie existent encore ; elles terminent dans les sites d’enfouissement où elles ne se biodégradent pas. Brosse à dents en bambou avec poils en polymère. Emballage de carton et "CelloWrap" biodégradable. L’alternative : la brosse à dents en bambou. Le manche en bambou est biodégradable. Les poils, à moins d’acheter une brosse faite avec des poils de sanglier (oui, ça existe), sont en plastiques. Il suffit de retirer les poils à l’aide d’une pince et les placer au recyclage. Brush with Bamboo était t