Projet Zéro Déchet

La première place que j’ai décidé de « m’attaquer », c’est la salle de bain. Vous allez donc constater que mes premières actions Zéro Déchet concerneront majoritairement l’hygiène corporelle. Cette semaine, c’est le savon ! Plutôt que d’utiliser du gel de douche, je me tourne vers le savon en barre. Le savon en barre a malheureusement mauvaise réputation (les gens le croient rempli de bactéries!). Pour plus d’infos à ce sujet, je vous recommande de lire cet article (en anglais) du site TreeHugger: The Sad Slippery Slope of Bar Soap . Une fois que j’aurais terminé mon savon à main liquide, le savon en barre trouvera aussi sa place aux côtés du lavabo et de l’évier. Par ailleurs, l’association américaine Food and Drug Administration (FDA) affirme que le savon antibactérien n’est pas plus efficace que le savon traditionnel. L’étude effectuée en 2013 [1] a notamment poussé la FDA à bannir le triclosan (agent de conversation) qui pourrait causer des dérèglements hormonau

Super, je commence déjà mon blogue avec une semaine de retard! Eh oui, la semaine passée, je vous disais de surveiller mes publications puisque j’entreprenais déjà mon projet. Ce fut le cas, mais je n'ai pas publié! Sauf que, en même temps, le retard a eu un avantage. Il m'a permis de tester un peu plus ce dont je vais vous parler : le déodorant. Depuis plusieurs années, j'utilise de l'antisudorifique plutôt que du déodorant. J'ai souvent entendu parler de la possible corrélation entre l'aluminium dans les antisudoriques et le cancer du sein. Sachant que corrélation n'égale pas causation, cela ne m'a jamais inquiété au point de cesser d'en utiliser. Par contre, ce qui m'a convaincu, c'est que l'andisudorifique ruinait mes vêtements en y laissant un cerne blanc permanent. En plus, ce cerne emprisonne les odeurs de sueur dans le tissu, pas vraiment l'effet recherché... Je me suis donc décidée à tenter l'expérience du déo, et ta

C’est un défi personnel que je souhaite relever. À chaque semaine pendant un an, je veux trouver une solution concrète pour réduire ma production de déchets. Je n’ai pas la prétention d’éliminer complètement les déchets de ma vie, mais je souhaite être proactive pour tendre vers cet idéal. Je fais le choix d’y aller en petites étapes progressives pour rendre la transition plus facile. Pourquoi un tel projet ? Pour faire une différence positive, aussi minime soit-elle, sur la santé de notre écosystème.   D’où vient cette idée ? L’élément déclencheur a été le visionnement de ce reportage à l’émission L’Épicerie à Radio-Canada : http://ici.radio-canada.ca/tele/l-epicerie/2015-2016/segments/reportage/4149/zero-dechets Pourquoi partager cette expérience ? Étant de nature discrète, ce n’est certainement pas un exercice d’exhibitionnisme! C’est plutôt que je sais que la route devant moi risque d’être longue, sinueuse et parsemée d’embuches. Je souhaite donc entrep